• Peut-être Nadia

Peut-être Nadia


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JO de Montréal, 1976. Nadia Comaneci a quatorze ans, elle est la première gymnaste à obtenir la note suprême de dix. Depuis, elle n’est plus gymnaste, elle est Nadia.



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2021 | 1h25min | HDSpectacle vivant

Jeux Olympiques de Montréal, 1976. Nadia Comaneci a quatorze ans, elle est la première gymnaste à obtenir la note suprême de dix. Depuis, elle n’est plus gymnaste, elle est Nadia. La légende de Nadia : celle de la perfection, et du chaos aussi. Celui de son corps qui réalise ce qu’un corps n’est pas censé réaliser. De son corps que le monde entier semble vouloir posséder dans un même désir. De son corps que les Ceausescu pensent avoir créé avec l’air, l’eau et la Roumanie. De son corps qui ne s’écroule jamais, contrairement au mur de Berlin et au rêve américain. De ce corps qui ne lui appartient dès lors plus tout à fait. Et dont il faut retracer la légende dans une biographie fantasmée, une hypothèse : peut-être Nadia.

La presse en parle
" Le spectacle, mêlant intime et politique, tricote des liens nerveux et pertinents entre l’individu et le collectif, la petite et la grande histoire, la voltige ordonnée d’un corps et la valse chaotique des sociétés. C’est très bien fait, écrit, pensé et joué par cinq acteurs qui circulent de rôle en rôle, avec gravité et humour. On doit ce spectacle fuselé au duo Pascal Reverte et Anne-Sophie Mercier." TÉLÉRAMA
" S’affranchissant de la chronologie, se jouant de l’espace et du temps, Pascal Reverte nous propose une œuvre dense. Cela demande parfois aux spectateurs de faire des efforts, pas grave, car c’est très stimulant. De sa voix à la tonalité si particulière où l’enfance ne traîne pas bien loin, Elizabeth Mazev incarne à la perfection Nadia, une femme qui cherche comment raconter son histoire, mais par où commencer ? (...) Un spectacle intense et pertinent qui nous fait graviter autour de bien des émotions." L'OEIL DE L'OLIVIER
"À la fin, seul reste sur scène l'entraineur, le démiurge (incarné par Nicolas Martel), qui se lance, grand moment, dan sun saisissant monologue. Belle pirouette finale, haute et troublante gymnastique... " LE CANARD ENCHAÎNÉ

+d'infos
Une pièce de Pascal Reverte et Anne-Sophie Mercier, jouée au Festival OFF d'Avignon 2021, au Théâtre du Train Bleu

 


  • Peut-être Nadia - Avignon OFF

    Peut-être Nadia - Avignon OFF

    1h25

    Langue : Français
  • Genre <p>Th&eacute;&acirc;tre contemporain</p>

2021 | 1h25min | HDSpectacle vivant

Jeux Olympiques de Montréal, 1976. Nadia Comaneci a quatorze ans, elle est la première gymnaste à obtenir la note suprême de dix. Depuis, elle n’est plus gymnaste, elle est Nadia. La légende de Nadia : celle de la perfection, et du chaos aussi. Celui de son corps qui réalise ce qu’un corps n’est pas censé réaliser. De son corps que le monde entier semble vouloir posséder dans un même désir. De son corps que les Ceausescu pensent avoir créé avec l’air, l’eau et la Roumanie. De son corps qui ne s’écroule jamais, contrairement au mur de Berlin et au rêve américain. De ce corps qui ne lui appartient dès lors plus tout à fait. Et dont il faut retracer la légende dans une biographie fantasmée, une hypothèse : peut-être Nadia.

La presse en parle
" Le spectacle, mêlant intime et politique, tricote des liens nerveux et pertinents entre l’individu et le collectif, la petite et la grande histoire, la voltige ordonnée d’un corps et la valse chaotique des sociétés. C’est très bien fait, écrit, pensé et joué par cinq acteurs qui circulent de rôle en rôle, avec gravité et humour. On doit ce spectacle fuselé au duo Pascal Reverte et Anne-Sophie Mercier." TÉLÉRAMA
" S’affranchissant de la chronologie, se jouant de l’espace et du temps, Pascal Reverte nous propose une œuvre dense. Cela demande parfois aux spectateurs de faire des efforts, pas grave, car c’est très stimulant. De sa voix à la tonalité si particulière où l’enfance ne traîne pas bien loin, Elizabeth Mazev incarne à la perfection Nadia, une femme qui cherche comment raconter son histoire, mais par où commencer ? (...) Un spectacle intense et pertinent qui nous fait graviter autour de bien des émotions." L'OEIL DE L'OLIVIER
"À la fin, seul reste sur scène l'entraineur, le démiurge (incarné par Nicolas Martel), qui se lance, grand moment, dan sun saisissant monologue. Belle pirouette finale, haute et troublante gymnastique... " LE CANARD ENCHAÎNÉ

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  • Peut-être Nadia - Avignon OFF

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    Durée : 1h25
    Langue : Français
    1h25
  • Genre <p>Th&eacute;&acirc;tre contemporain</p>

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