En prison, un homme est envahi par ses souvenirs. Le souvenir d'une enfance heureuse laisse place à d’autres, plus sombres... La violence, la radicalisation, la haine.
Réalisateur | Sébastien Tézé |
Acteurs | Hakim Djaziri (comédien), Florian Chauvet (comédien), Leïla Guérémy (comédienne), Quentin Defalt (metteur en scène) |
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2019 | 1h18min | HD | Spectacle vivant
Depuis la prison de Fleury-Mérogis, un homme est envahi par une pensée : il a quatre ans, c’est son anniversaire, le doux parfum de son Algérie natale lui revient. Mais très vite, le souvenir de son enfance heureuse laisse place à d’autres, plus sombres : la montée de l’intégrisme, sa fuite en France avec ses parents, son arrivée dans la cité des Trois-mille à Aulnay-Sous-Bois, l’un des quartiers les plus difficiles de Seine-Saint-Denis. De déceptions en désillusions, en manque de repères, il sombre dans la violence. Pourtant élevé dans l’amour des autres, il se referme sur lui-même et, sous les yeux impuissants de ses parents, se noie dans un islam radical… Il sait qu’il n’y a aucune fatalité. Il aurait pu choisir un autre itinéraire. À la croisée des chemins, il a préféré céder à la haine. Succès du festival Off d’Avignon en 2019, ce spectacle d'inspiration autobiograhpique écrit par Hakim Djaziri éclaire magistralement la réalité de la radicalisation.
La presse en parle
« Un texte"vrai", des acteurs subtils, une mise en scène inspirée. » FRANCEINFO CULTURE
« Sans pathos ni excuses, l’auteur et comédien Hakim Djaziri nous livre à travers son personnage un portrait saisissant de ces jeunes perdus et manipulés insidieusement afin de tomber dans un Islam radical (…). L’écriture énergique est un véritable coup de poing, un cri servi par une interprétation sans faille de la part des trois comédiens » REG'ARTS
« Exsangue face à nos propres limites, nos propres angoisses, nos propres incapacités devant l’indicible de cette chute en enfer, on ressort lessivé, empli de question, totalement saisi par cette plongée en eaux troubles de l’autre côté de la barrière, dans la tête d’un djihadiste. » L'OEIL D'OLIVIER
« La présence d’Hakim Djaziri, doux et éruptif, âpre et vulnérable, dégaine des quartiers comme on en voit trop peu au théâtre, et porte sans faiblir l’énergie de la pièce » SCENEWEB
2019 | 1h18min | HD | Spectacle vivant
Depuis la prison de Fleury-Mérogis, un homme est envahi par une pensée : il a quatre ans, c’est son anniversaire, le doux parfum de son Algérie natale lui revient. Mais très vite, le souvenir de son enfance heureuse laisse place à d’autres, plus sombres : la montée de l’intégrisme, sa fuite en France avec ses parents, son arrivée dans la cité des Trois-mille à Aulnay-Sous-Bois, l’un des quartiers les plus difficiles de Seine-Saint-Denis. De déceptions en désillusions, en manque de repères, il sombre dans la violence. Pourtant élevé dans l’amour des autres, il se referme sur lui-même et, sous les yeux impuissants de ses parents, se noie dans un islam radical… Il sait qu’il n’y a aucune fatalité. Il aurait pu choisir un autre itinéraire. À la croisée des chemins, il a préféré céder à la haine. Succès du festival Off d’Avignon en 2019, ce spectacle d'inspiration autobiograhpique écrit par Hakim Djaziri éclaire magistralement la réalité de la radicalisation.
La presse en parle
« Un texte"vrai", des acteurs subtils, une mise en scène inspirée. » FRANCEINFO CULTURE
« Sans pathos ni excuses, l’auteur et comédien Hakim Djaziri nous livre à travers son personnage un portrait saisissant de ces jeunes perdus et manipulés insidieusement afin de tomber dans un Islam radical (…). L’écriture énergique est un véritable coup de poing, un cri servi par une interprétation sans faille de la part des trois comédiens » REG'ARTS
« Exsangue face à nos propres limites, nos propres angoisses, nos propres incapacités devant l’indicible de cette chute en enfer, on ressort lessivé, empli de question, totalement saisi par cette plongée en eaux troubles de l’autre côté de la barrière, dans la tête d’un djihadiste. » L'OEIL D'OLIVIER
« La présence d’Hakim Djaziri, doux et éruptif, âpre et vulnérable, dégaine des quartiers comme on en voit trop peu au théâtre, et porte sans faiblir l’énergie de la pièce » SCENEWEB
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